Lorsque vous rencontrez des clients négociateurs dans les magasins de vêtements, avez-vous appris...
Dès l'arrivée de l'été, les prix des vêtements dans les magasins augmentent considérablement par rapport au printemps. De nombreux clients ne l'acceptent pas immédiatement. Après avoir vu les prix, ils disent :
« Je n'ai pas besoin d'acheter des vêtements aussi chers. De toute façon, je ne les porterai pas l'année prochaine. »
« Ne parlez pas trop. Dites-moi juste combien vous voulez. »
« Vos prix sont trop élevés. Je ferais mieux d'aller ailleurs. »
Que devrait faire un guide d'achat pour ces clients qui marchandent dès leur entrée en magasin et trouvent les vêtements d'automne trop chers ?
Comment identifier les clients qui se plaignent de leurs dépenses
Tout d'abord, vous devez comprendre les types de clients qui se plaignent des prix. Certains disent que quelque chose est trop cher mais essaient en fait de marchander, tandis que d'autres ne peuvent vraiment pas accepter le prix et n'achètent pas.
Pour éviter toute perte d'effort, l'éditeur a résumé quatre types de clients qui se plaignent des prix. Une fois que vous avez un jugement clair, vous pouvez alors prescrire la bonne solution.
Le premier type de client : faible pouvoir d’achat
Ce type de client ne veut vraiment pas dépenser d’argent, car vous constaterez qu’il dira des choses comme : « Ce n’est pas grave, je n’ai pas besoin d’acheter quelque chose de trop beau » ou « Ce n’est pas grave, je n’ai pas besoin d’acheter quelque chose de trop cher » pour des vêtements à prix moyen.
Cette déclaration vise à dissimuler l'embarras de leur faible pouvoir d'achat, mais vous ne devez pas l'exposer.
Le deuxième type de client : tester le prix
Ce type de client connaît le produit et comprend sa valeur, mais il a simplement une mentalité chanceuse du type « vous me ferez une remise ». Cette situation se produit souvent avec les clients réguliers.
Ils disaient :
« Combien pouvez-vous me donner au prix le plus bas ? »
« Alors si j'en achète deux, pouvez-vous me faire une remise de 40 % ? »